TRANSPORTS IDENTITAIRES DES DEUX COTES DE L’ATLANTIQUE
Voici deux ouvrages ayant en commun la longueur. Celui de Martin Rueff fait 459 pages, celui de Jérome Rothenberg 928. Précisons que cet avertissement vise à tremper plutôt qu’à tempérer l’enthousiasme du lecteur. À quoi l’on ajoutera que l’anthologie Rothenberg demande, pour être appréciée, une bonne connaissance de l’anglais, l’essai de Martin Rueff une maîtrise approfondie de la philosophie. Affirmons enfin que quiconque ne se sentira pas rebuté par un tel préambule, tirera un plaisir égal aux deux lectures.
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