Revivez … la lecture publique de « La mer en hiver sur les côtes de la Manche »
Revivez grâce au tournage et au montage de Pierre Leleux et Guillaume Lehingue :
la lecture publique de « La mer en hiver sur les côtes de la Manche », avec l’accompagnement musical interprété par Barbara Le Liepvre
réalisée le 5 décembre 2023 à la Comédie de Picardie.
Lire la suite »Rendez-vous… le 11 décembre 2023 à la Maison de la Poésie de Paris
Je serai très heureux de vous accueillir pour une lecture musicale des poèmes de La mer en hiver sur les côtes de la Manche le lundi 11 décembre à 19h30 à la Maison de la Poésie de Paris
La partition musicale interprétée par la violoncelliste Barbara Le Liepvre a été spécialement écrite pour l’occasion par le jeune compositeur Nicolas Worms.
Réservation : https://maisondelapoesieparis.com/
Lire la suite »Rendez-vous … le 5 décembre 2023 à la Comédie de Picardie
Je serai très heureux de vous accueillir pour une lecture musicale des poèmes de La mer en hiver sur les côtes de la Manche le mardi 5 décembre à 18h30 à la Comédie de Picardie à Amiens.
La partition musicale interprétée par la violoncelliste Barbara Le Liepvre a été spécialement écrite pour l’occasion par le jeune compositeur Nicolas Worms.
Lire la suite »Parution : La Mer en hiver sur les côtes de la Manche
Cher amis,
Ma toute récente séquence de poèmes intitulée La mer en hiver sur les côtes de la Manche, suivie de l’essai L’imagination et le pur vertige d’exister parait aujourd’hui jeudi 16 novembre, par l’éditeur du Castor Astral.
On n’en a jamais fini avec la mer. On n’en a jamais fini avec l’horizon. Un véritable laboratoire de vie à ciel ouvert, la plage ! On y court enfant, on s’y pose adulte, on y marche au soir de l’existence, toutes ombres mêlées. Les plages de sable du Nord sont parmi les plus disponibles que nous connaissions. L’imagination s’y envole seule vers le ciel, un subtil jeu avec les mains sur les ficelles suffisant à la
gouverner et la ramener au sol, délicatement.
Rendez-vous… le 28 avril 2023 à la soirée spéciale « Poètes en résonances »
La compagnie « Résonances » a le plaisir de vous convier le vendredi 28 avril 2023 à 20H à la soirée spéciale « Poètes Résonances » en présence de Jacques Darras, accompagné de Pierre Hardy, musicien.
La soirée se poursuivra autour du collation festive.
Entrée libre au 8, rue Camille Flammarion – 75018 Paris
(M) Porte de Clignancourt
Lire la suite »Rendez-vous… le 9 décembre à la Maison de la Poésie de Paris
« PARLER AVEC LES RIVIÈRES »
Avec Jacques Darras & Pierre Vinclair
Parler avec les rivières. Plutôt que des rivières ou aux rivières. Les rivières sont naturellement bavardes mais nous ne les écoutions pas. Très peu de rivières dans les poèmes ou les romans jusqu’alors. Or, il a fallu qu’elles s’assèchent, soudain l’été dernier – comme si elles faisaient unanimement grève tout à coup ! — pour que nous les entendions. Les rivières, les fleuves sont pourtant depuis toujours notre respiration extérieure. Nos propres corps sont faits d’eau et participent par conséquent au grand circuit de l’eau. Ne pas l’entendre alimentait à notre insu notre sècheresse. Les deux poètes parleront parallèlement l’un à l’autre mais aussi en confluence. Ils partent de sources différentes. Le premier, l’aîné, Jacques Darras conduit depuis plus de quarante ans un cycle de 8 poèmes, achevé en 2022, irrigué par un petit fleuve côtier de la Manche, la Maye. Il vient de publier un recueil de 20 gouaches et 20 poèmes « Je suis une rivière » où il déplore et chante à la fois la fragilité menacée de son héroïne. Son cadet Pierre Vinclair, a vécu en résidence dans la presqu’île de Singapour sur les rives de la Singapore River, la suivant, la décrivant, la dépliant dans un court livre, Bumboat, publié dans la collection « Les Passeurs d’Inuits », que dirige Jacques Darras. Au contraire de la Maye, la Singapore River est une rivière urbaine, marchante, marchande, dont Pierre dresse un portrait objectif, pour ne pas dire objectiviste. Soit la rencontre de deux littératures aux antipodes l’une de l’autre.
À lire – Jacques Darras, Je suis une rivière, éditions de la librairie du labyrinthe, 2022 – Quatre à quatre vers le Nord, Cours toujours éditions, 2022. Pierre Vinclair, Bumboat, coll. « Les Passeurs d’Inuits », Le Castor Astral, 2022, L’éducation géographique, Flammarion, 2022.
Maison de la Poésie
Rendez-vous à 20h - Passage Moliėre - 157, rue Saint-Martin – 75003 Paris
M ° Rambuteau – RER Les Halles
Tarif : 6€
Lire la suite »Publication de la revue Nu(e), n° 78, Jacques Darras
Le numéro 78 de la revue NU(e), est consacré au poète Jacques Darras. Il a été coordonné par Christine Dupouy. Il est composé de 18 articles présentés dans un avant-propos et découpé en 5 parties. Ce volume comprend également une série de 8 gouaches réalisées par Jacques Darras.
Accéder à ce numéro d’un simple clic sur ce lien.
Lire la suite »
Rendez-vous le 21 juin à la librairie Gallimard à Paris
Rendez-vous à 19h le 21 juin 2022 à Paris à la librairie Gallimard/Raspail pour une lecture croisée avec Marie Etienne
A l’occasion de la sortie de nos recueils respectifs : Sommeil de l’Ange (collection Passeurs d’Inuits) et Le Choeur maritime de la Maye (le Castor Astral)
Lire la suite »Rendez-vous au Marché de la poésie le 9 juin 2022
Rendez-vous au marché de la Poésie, place Saint-Sulpice à Paris
- Sur le stand Gallimard de 14h à 15h30
- En table ronde (chapiteau du marché) de 16h à 17h
- Sur le stand du Castor Astral de 17h à 18h
Lire la suite »Publication : « Epiques! » – Le poète dans le temps (Castor Astral, 2021)
Qu’y a-t-il de commun entre L’Iliade, La Henriade de Voltaire, La Main coupée de Blaise Cendrars et Le Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline ? La guerre. La guerre on y va, puis au retour on compose un poème plus ou moins héroïque, en vers ou en prose, qualifié « épopée ». Il arrive toutefois que la guerre soit tellement destructrice que plus aucune littérature épique n’est acceptable à son sujet.
Le modèle est alors congédié. C’est ce qui s’est produit au XXe siècle avec les deux guerres mondiales. Depuis, personne n’évoque plus l’épopée, en poésie.
Pourquoi, dans ce cas, ne pas opérer le genre de son rapport consubstantiel à la guerre ? C’est ce que Jacques Darras propose. En s’engageant avec humour sur la durée d’une vie entière, contre notre seul véritable ennemi commun, le temps, la poésie redonne sa légitimité de facto à l’épopée.
Tous épiques désormais ?
Plus d’informations sur le site du Castor Astral
Lire la suite »